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Par jeannot511 le 16 Octobre 2013 à 23:18
Quand à peine vêtue d’un léger tissu transparent et soyeux
Recouvrant timidement l’écrin de sa peau satinée.
Laissant entrevoir à peine le bout de ses seins d’albâtre
Et sous la mousse entre ses jambes ce feu de l’âtre.
Qui ne fait que somnoler et un rien pourrait l’attiser
La moindre caresse pourrait la mettre en éveil
Il suffirait d’une simple étincelle pour la raviver
Ce volcan dormant en elle qui sommeille
Dans une chambre ambiante aux lumières tamisées
Imprégnée de son doux parfum enivrant
Mes mains frôlent sa peau veloutées
À peine cachée d’un léger tissu transparent
De mes doigts avec finesse je les entrouvres
Ces dentelles ou se cachent tant de plaisir
Tandis que j’hume ce parfum que je découvres
Ma bouche s’assouvie et s’abreuve de cet élixir
Et c’est alors que ce feu de l’âtre
qui ne faisait que sommeiller se réveille
Dans un élan fougueux pour s’accroître
Dans une extase impétueuse et harmonieuse .
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