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  • Quand à peine vêtue d’un léger tissu transparent et soyeux
    Recouvrant timidement l’écrin de sa peau satinée.
    Laissant entrevoir à peine le bout de ses seins d’albâtre
    Et sous la mousse entre ses jambes ce feu de l’âtre.

    Qui ne fait que somnoler et un rien pourrait l’attiser
    La moindre caresse pourrait la mettre en éveil
    Il suffirait d’une simple étincelle pour la raviver
    Ce volcan dormant en elle qui sommeille

    Dans une chambre ambiante aux lumières tamisées
    Imprégnée de son doux parfum enivrant
    Mes mains frôlent sa peau veloutées
    À peine cachée d’un léger tissu transparent

    De mes doigts avec finesse je les entrouvres
    Ces dentelles ou se cachent tant de plaisir
    Tandis que j’hume ce parfum que je découvres
    Ma bouche s’assouvie et s’abreuve de cet élixir

    Et c’est alors que ce feu de l’âtre
    qui ne faisait que sommeiller se réveille
    Dans un élan fougueux pour s’accroître
    Dans une extase impétueuse et harmonieuse .


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